Chaque année, 350 millions de tonnes de matériaux finissent dans les bennes des usines en France. C’est à partir de ce constat que Maximum a décidé de tirer profit de ces ressources obtenues au cours du processus de production, et parfaitement réutilisables.

Des déchets au design
A l’heure où l’exploitation des matières premières fragilise les écosystèmes de la planète, utiliser ces déchets industriels s’apparente à une nécessité et fait appel au bon sens. C’est lors de la conception d’un meuble que des tests sont réalisés dans les usines françaises. Plusieurs opérations sont ainsi nécessaires pour obtenir le résultat final, qui sera ensuite vendu en magasin. C’est cette matière utilisée lors de ces essais qui est récupérée par Maximum, puis transformée en table, fauteuil ou tabouret dans les ateliers d’Ivry-sur-Seine (94) de la marque. Le matériau passe ainsi du statut de déchet à celui d’objet, dans une véritable démarche artisanale.

Tabourets Rotoman 2.5 © Maximum

Les industries françaises partenaires
Pour réaliser ces meubles, Maximum s’associe aux industries françaises. Ainsi, c’est grâce au concours de l’usine A.Schulman que les tabourets Rotoman 2.5 et les fauteuils Gravêne 9.5 sont produits. Cette entreprise fabrique des prototypes afin de tester la qualité de la substance plastique, qui finissent ensuite à la poubelle. Maximum leur donne une seconde vie, sans utiliser de matière nouvelle ni d’énergie supplémentaire. Une idée qui permet d’associer respect de l’environnement et décoration haut de gamme.

Fauteuil Gravêne 9.5 - Couleur 29 © Maximum

Les produits sont en vente en ligne, sur le site de Maximum.paris
Tabouret Rotoman 2.5 : 46 €.
Fauteuil haut Gravêne 9.5 : 350 €.
Table Clavex 68.0 : 1 150 €.

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