La fin des sacs plastiques à usage unique approche à grands pas (1er juillet 2016). Puis, à partir du 1er janvier 2017, seuls resteront autorisés les sacs compostables, et constitués de matière d’origine végétale (biosourcés). Avec la loi de transition énergétique qui vise principalement à lutter contre la pollution, les entreprises françaises sont donc encouragées à trouver d’autres alternatives provenant de sources végétales. Voici quelques exemples de sacs qui pourraient voir le jour dans nos supermarchés.

Les sacs en papier kraft
Ces sacs sont faits à partir de composants 100 % recyclables et sont très légers. Robustes, ils résistent aux coupures : idéal pour le secteur de l’alimentation.

© Istock

Les sacs en bioplastique
Ils sont fabriqués à partir de ressources végétales renouvelables (amidon de maïs, pomme de terre, canne à sucre etc.), de polymères biodégradables, et sont aussi résistants que les traditionnels sacs plastiques.

Les sacs oxo-biodégradables
Ces sacs sont fabriqués à base de polymère synthétique auquel on ajoute des additifs spéciaux (sels minéraux etc.) qui fragilisent le plastique et font qu’il se fragmentera plus vite. En outre, au contact de la chaleur ou de la lumière, le plastique se brisera en micro-fragments qui se disperseront dans la nature et disparaîtront plus rapidement.

Les sacs réutilisables
Les sacs intissé PVC : Rigides, souples et résistants à l’eau et aux déchirures, ils sont faciles à entretenir.
Les sacs intissé PP (polypropylène) : Ils sont faits à partir de tissus écologiques et donc recyclables.

En attendant de voir apparaître ces nouveaux sacs, les premiers sacs plastiques enzymés (biodégradables), fabriqués par la société française Carbios, verront le jour en 2017.

© Carbios

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